Attention : La randonnée pédestre est une activité sportive se pratiquant en pleine nature, et en aucun cas l'auteur de ces lignes ne saurait être tenu pour responsable en cas d'accident.
Cet article est un reportage, et non une incitation à pratiquer la randonnée hors balisage, ou en passages délicats ou difficiles.
Chacun doit être capable d’évaluer ses capacités, avoir l'expérience nécessaire et les équipements adaptés afin de respecter la sécurité et l’environnement.
Cachées entre les falaises calcaires, les Caisses de Jean-Jean et Servanne offrent un paysage parmi les plus remarquables des Alpilles au pays des olives.
Départ depuis un parking en bordure de la D24 au nord de Mouriès.
Nous prenons un peu de la hauteur.
Nous longeons les Caisses de Servanne.
Vue sur la vallée.
En bordure d'un petit canal.
Cardon.
La flore printanière.
Le parfum des genêts nous enivre.
Les couleurs et les parfums se mélangent.
Nous croisons des cavaliers.
Le lierre envahit la roche.
Nous longeons la parois calcaire.
Une petite grotte.
Le moulin attend sa meule...
Nous arrivons sur le plateau des Caisses de Jean-Jean.
L’oppidum gaulois.
Fernand BENOIT est le premier archéologue à fouiller ce site à partir des années 1930.
Aujourd’hui, le Groupe Archéologique de Mouriès (G.A.M.) sous la conduite d’Yves MARCADAL continue les fouilles.
Les falaises qui encadrent le plateau.
Un passage nous permet de prendre de la hauteur.
Oliveraie.
Nous partons vers le Pas du Loup.
Le Pas du Loup, (pas sur)...
Peut être là...
Le lieu est magnifique.
Nous arrivons dans le Golf de Servanne.
Nous traversons ce lieu verdoyant.
La maison de Marius à l'abandon, une personne emblématique de Mouriès.
Un vrai musée de reliques religieuses.
La cheminée.
L'eau de Marius.
Belle entrée d'un domaine.
Et c'est parmi les oliviers que nous regagnons le parking.
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