Attention : La randonnée pédestre est une activité sportive se pratiquant en pleine nature, et en aucun cas l'auteur de ces lignes ne saurait être tenu pour responsable en cas d'accident.
Cet article est un reportage, et non une incitation à pratiquer la randonnée hors balisage, ou en passages délicats ou difficiles.
Chacun doit être capable d’évaluer ses capacités, avoir l'expérience nécessaire et les équipements adaptés afin de respecter la sécurité et l’environnement.
Les dernières pluies ont fait gonfler le lit de nos rivières, c'est une bonne occasion d'aller admirer les magnifiques cascades du Grand Gaudin habituellement presque sec, au cœur de la forêt de Mazaugues.
Nous partons d'un parking en bordure de la D64.
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Nous croisons une charbonnière.
Juste après une ruine.
Petit ruisseau.
Un petit étang où coassent les crapauds.
Nous passons devant un ancien puits de mine.
Nous arrivons près du Grand Gaudin.
La rivière est bien en eau.
De jolis passages.
Des petites cascades.
Parfois, il faut s'écarter un peu de la rivière à cause de la végétation trop dense.
Mais on retrouve vite les berges.
Ici, la rivière et plus encaissée.
Nous arrivons aux premières grandes cascades.
La photo souvenir s'impose.
l'endroit est superbe.
Un étage plus haut, d'autres cascades.
L'eau ne manque pas et bouillonne partout.
La rivière coule dans un canyon et nous devons monter et passer en bordure des falaises.
Quelques petits ressauts à franchir.
Nous longeons toujours la falaise.
Il ne reste plus qu'à préparer la marinade et faire la daube...
Encore un peu d'escalade.
Puis nous arrivons dans un endroit magique.
Quel spectacle...
Plus haut, une autre aussi magnifique.
Nous quittons les bords du Grand Gaudin.
Petits fossiles.
Perchoir.
Le sentier chemine sur une roche bien plate.
Les ruines de La Capelette.
Ancienne bergerie.
La citerne.
nous continuons vers une autre curiosité.
Nous suivons un petit ruisseau.
Et nous voilà à la Fontaine de la Guillandière.
Autrefois la “fontaine” de la source de la Guillandière constituait la réserve d’eau pour le château de Saint- Jean et pour le vieux village. De l’occupation romaine au Moyen-Age, les villageois y descendaient se ravitailler avec jarres et vases de terre, ce qui explique la profusion de poteries découvertes lors de fouilles ».
Vue de l'intérieur derrière les arches.
Nous continuons sur le chemin de plus en plus rougeoyant.
Nous rentrons dans des zones d'exploitation de bauxite.
Des anciens bâtiments d'exploitation minières.
C'est immense.
Vieux hangars
Les trémies.
Tout est à l'abandon.
Un peu plus loin, une carrière.
Lapiaz.
Ancien poste transfo.
Une journée bien remplie avec un parcours très agréable et une belle rivière qui a retrouvé toute sa vigueur.