Autour de Correns

Nous partons du village, près de la cave vinicole pour suivre ce jolie chemin bordé d'un ruisseau.

Les vaches sont dans le pré...

Un bel oratoire.

Une petite recherche dans les bois pour trouver une grotte.

La voici, c'est la grotte de Sous Ville.
Attention: cette cavité reste un site archéologique qui a fait l'objet de fouilles et sa visite exige donc un grand respect des lieux.

La porte grillagée n'est pas cadenassé et reste ouverte ???

Au fond de la salle d'entrée, nous nous engageons dans un passage très étroit.

nous nous retrouvons dans deux autres salles ébouleuses et concrétionnées.

La nature sous-terraine est toujours un émerveillement.

Avant de quitter la grotte, la photo B&B.

Nous reprenons notre chemin, circulant au milieu des vignes.

Nous sommes rapidement en bordure de l'Argens.

Plus loin nous arrivons à l'écluse.

Un magnifique endroit, nous faisons à nouveau une photo souvenir.

Nous remontons dans la forêt.

Au milieu des bois, une piscine naturelle alimenté par une pompe à bélier.

Autour, des constructions surprenantes avec des emménagements de murets et d'escaliers.

Le terrain est construit de plusieurs restanques, en partie haute, une petite maison en pierres, très mignonne.

Nous posons dans ce lieu insolite, certainement l'oeuvre d'un passionné.

Nous prenons la direction de l'apié de Gayassu.

Nous passons devant un charmant cabanon. Le coin est bien sympathique...

Voilà, l'apié de Gayassu.
La porte de l'enclos, reste ouverte aux visiteurs.

Merci, à la propriétaire, Hélène G. , qui l'a restauré et permet l'accès aux promeneurs.
Un livre d'or et une fiche explicative sont à disposition.

Quelques vestiges d'outils et autres, complètent le côté "musée" du lieu.

Un apié est un enclos ceinturé d'un haut mur de pierres sèches garni de niches où sont disposées les ruches.
Ces murs à abeilles sont généralement orientés vers le soleil levant et abritées du mistral.
Les ruches primitives étaient constituées de plaques d'écorce de chêne-liège. Les niches sont placées à une certaine hauteur pour les protéger de l'eau et des animaux amateurs de miel.
Un trou rempli d'eau à quelques mètres permettait aux abeilles de se désaltérer.

La fontaine.

Un peu plus haut, près d'une charbonnière, une cabane de charbonnier.

Nous reprenons le chemin étroit.

Un joli puit, près d'une maison.

Plus loin, une ruine.

La Croix de basson.
Edifiée sur une cheminée de fée - aiguille de dolomite - cette croix, haute de 12 mètres, date de 1912, à l'occasion du Grand Pardon.

L'arrivée dans les oliviers clôture cette belle journée.