Abris murés et baume fortifiée

Il a plu dans la nuit et l'air est un peu frisquet.

une échelle authentique...

Un petit abri de chasseur.

Sur le plateau.

Crocus, le printemps approche.

Descente dans un pierrier.

La barre rocheuse où se cachent les grottes.

La première, un abri bordé d'un mur de soutènement assez spacieux.

Un couloir s'enfonce sur une quinzaine de mètres, quelques inscriptions sur les parois.

Petite exploration.

Un petit peu plus loin, la Baume fortifiée.
L’éloignement de cette grotte, à l’écart des lieux cultivés et habités, hors des regards, laisserait penser à un refuge de bandits.

Un surplomb rocheux de 6m nécessitant une escalade, protège l'accès à la grotte.

Un petit essais, mais on s'aperçois très vite que la roche est patinée, pas de prise, de plus un devers sur 2m augmente la difficulté, il est absolument nécessaire d'avoir du matériel d'escalade, coinceurs, corde etc.... pour accéder.
Nous prévoirons pour la prochaine fois...

Nous contnuons sous la falaise.

Quelques graffitis.

Plus loin, une autre grotte murée d’une trentaine de mètres de long. Cette grotte s’ouvre à ras du sol.

Reste plus que l’assise du mur qui en barrait l’entrée.

Sur le plafond.

Puis, c'est une rude remontée vers le plateau.

Sur le passage, un minuscule diablotin (Empusa pennata).
Il a l'allure frêle du phasme, les armes d'une mante religieuse et une tête de monstre de science-fiction. On le trouve dans les endroits secs et ensoleillés comme les garrigues.

Nous retrouvons le plateau au milieu de jeunes cèdres.